Des perspectives au final peu réjouissantes. La direction régionale de Normandie d’Hervé Morin, qui a annoncé déterminer avant la fin de l’année quelles lignes feraient l’objet d’appels d’offre, acte le fait que nombre de lignes seraient en danger, dont le Paris-Granville, anciennement Intercité. Il faut rappeler que l’ex-Basse-Normandie avait en 2014 signé une convention avec la SNCF à hauteur de 160 millions d’€ pour assurer l’entretien de la ligne jusqu’en 2030. Cette convention est devenue caduque dès lors qu’en 2016, Hervé Morin a décidé de reprendre les lignes Intercités, moyennant le financement par l’Etat de 40 rames Omnéo pour les lignes Paris Rouen Le Havre, Paris Caen Cherbourg et Paris Deauville. Très clairement, c’est le réseau du sud Normandie qui est amené à être abandonné par l’actuelle majorité régionale.
Des perspectives au final peu réjouissantes. La direction régionale de Normandie d’Hervé Morin, qui a annoncé déterminer avant la fin de l’année quelles lignes feraient l’objet d’appels d’offre, acte le fait que nombre de lignes seraient en danger, dont le Paris-Granville, anciennement Intercité. Il faut rappeler que l’ex-Basse-Normandie avait en 2014 signé une convention avec la SNCF à hauteur de 160 millions d’€ pour assurer l’entretien de la ligne jusqu’en 2030. Cette convention est devenue caduque dès lors qu’en 2016, Hervé Morin a décidé de reprendre les lignes Intercités, moyennant le financement par l’Etat de 40 rames Omnéo pour les lignes Paris Rouen Le Havre, Paris Caen Cherbourg et Paris Deauville. Très clairement, c’est le réseau du sud Normandie qui est amené à être abandonné par l’actuelle majorité régionale.